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J'ai les paroles de cette chanson en tête...
"Lorsque la vie a quitté ton corps
tu quittas la Vallée de l'Ombre de la Mort
Des gens cotisent pour ta pierre tombale
Pendant que je secrète des perles lacrymales..."Cela fait plus de deux que tu est parti...tu n'es pas parti doucement sur la pointe des pieds, non. Ton départ a été violent, comme une décharge élèctrique. Et pourtant tellement de gens avaient peur pour toi, tu ne savais pas combien ils avaient raison...trop tard...
"Que les Mages de l'Extrême me condamnent à mort
Qu'ils aient son âme et les vers son corps
Nous irons te revoir tôt ou tard c'est la loi du sort
Dieu ait ton âme, ces vers sont pour ton corps..."Pourtant encore tant de souvenirs, de nous quatres...si loin...si loin de cette horreur. Toi si exceptionel et unique et surtout si bon...je ne peux m'empêcher d'avoir de la haine et de la colère...je me sens seul tu dois l'être aussi.
Jérusalem ton destin...Jérusalem ta fin...
We miss you D.
2 commentaires -
Look at this thing,
most lovely,
most graceful,
It's her, the girl
that comes, that passes,
with a sweet swinging,
walking to the sea.Girl of the golden body,
from the sun of Ipanema,
Your swaying,
is more than a poem,
It's a thing more beautiful,
than I have ever seen pass by.Ah, why am I so alone ?
Ah, why is everthing so sad ?
The beauty that exists,
The beauty that is not mine alone,
that also passes by on its own.Ah, if she only knew
that when she passes,
the world smiles
fills itself with grace,
and remains more beautiful
because of love.
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Des heures durant...
J'ai brûlé ton âme
Avec les fleurs du mal
Laisse moi m'abreuver de ton souffle
M'enfermer dans ta bouche
Pour mieux savourer la source
Des heures durant...
Tire moi de l'ennui
Et rêver de ces nuits
Où telle une Eve serpentine
Je me faufile
Désirs durant
Des heures brûlantes...
5 commentaires -
Comment ai-je pu être aussi immature ?
Cette histoire vieille de 6 ans, me reste en mémoire.
Cette histoire c'est la mienne, celle d'une amitié amoureuse...
Nous nous étions déjà "frotté" l'un à l'autre quelques années auparavant, mais ce fut très bref à peine 2 mois de relation. Je me suis vite demandé ce qui nous unissais ? pas grand chose.
5 années passent, et un après-midi je le croise à la terrasse de ce café que nous aimions tant. Bizarrement, je suis très heureuse de le revoir, nous discutons pendant 3 heures.
Nous nous sommes revus avec ces amis qu'étaient les nôtres, comme au bon vieux temps. Je ressens très vite une attirance pour lui, encore.
Mais pas la même attirance qu'avant, une attirance plus mûr, plus raisonnée...
Je n'avais qu'une envie, de faire de lui le "mien" (à nouveau).
Une fois mes sentiments avoués, nous sommes entrés dans un période de non-dit, de silence pour enfin m'avouer qu'il ne comptait pas gâcher cette nouvelle amitié.
Et pourtant je gardais espoir, je savais ce qui allait d'une certaine manière se passer.
Je suis passée chez lui, un soir, des amis étaient là, j'étais alors convié. Nous nous sommes retrouvés à 5 dans sa cuisine en grande conversation, puis le nombre s'est restreint, 4 puis 3 puis 2, nous deux...seuls dans cette cuisine. Et ce qui devait se passer est arrivé, nous enchangeons un baiser, langoureux et interminable. Autour de moi tout se liquéfie, fond, disparait, je me retrouve dans un endroit flou, sans réels limites...c'est presque une décharge élèctrique. Je me suis nourrie de longs baisers pendant près d'une demi heure. J'avais enfin ce que je desirais...LUI.
Je rentre chez moi le coeur léger et prisonnier de lui, rien que de lui...
Rien ne me laissait entrevoir la suite. Pas de ses nouvelles le lendemain, seulement le sur lendemain...il est distant au téléphone. Il m'invite à venir chez lui après mes cours. Je suis entre deux eaux...heureuse et malheureuse.
J'arrive dans ce studio, qui quelques jours auparavant avait été le théatre de notre "idylle naissante". Un coup d'oeil rapide à cette cuisine...mon coeur bat la chamade.
Il m'avoue très vite avoir longtemps réfléchit à tout cela et qu'il ne voulait rien commencer, car pour lui, il ne s'agit pas de sentiments. Il y a une attirance physique évidente, mais rien de plus...C'est pour moi un coup de massue monumental. Comment notre échange si passionné, avait-il pu n'être qu'à sens unique ?
Je me sens comme l'Ophélie de shakespeare, rejeté par celui qu'elle aime...
Je ne le laisse pas terminer son speech...je sors calmement de chez lui...je pleure.
B.O Bjork "Play dead"
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